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Pour la fin de la captivité des animaux sauvages dans les cirques et autres activités de divertissement

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Publié par Christophe CORET le 4 juillet 2019
Catégories
  • Animaux sauvages captifs
  • Infos diverses
Mots-clés

Mercredi 3 juillet 2019, François de Rugy, ministre de la transition écologique et solidaire, a convié les acteurs des 4 groupes de travail (fourrure, zoos, delphinariums, cirques et spectacles itinérants) pour une réunion de restitution après deux mois de travaux.

Bien-être animal : 2 mois après le lancement des groupes de travail, les associations et professionnels du zoo, cirque, delphinarium et fourrure m’ont remis leurs propositions. Si beaucoup divergent, je salue leur qualité. Rdv en septembre pour l’annonce d’une série de mesures. pic.twitter.com/KFlnUNJCIk

‚Äî François de Rugy (@FdeRugy) July 3, 2019

Emilie de Marco, de la SPA, à pris la parole pour notre collège, au nom des 12 associations et fondations ≈ìuvrant pour l’interdiction des animaux sauvages dans les cirques et les spectacles itinérants. Son discours reprend nos demandes, nos attentes et celles de nos militants. √Ä la rentrée, nous publierons le document de synthèse remis au ministère. AVES France remercie toutes les associations et fondations qui ont participé à ces travaux et vous invite à lire ce discours.

Monsieur le Ministre d’Etat, Madame, Monsieur les Députés, Messieurs les élus, Mesdames et Messieurs,

Nos organisations de protection animale tiennent tout d’abord à vous remercier pour cette concertation sur la faune sauvage captive. En faisant écho à nos combats, elle a suscité beaucoup d’espoir ; nous attendons à présent des actes forts, à la hauteur de cet espoir et de nos attentes partagées avec les animaux mais également nos concitoyens.

En effet, la préoccupation pour la cause animale n’est pas l’apanage de nos seules organisations. Elle est devenue un enjeu de société et les attentes des Français, comme d’une part grandissante d’élus, sont considérables.
Conscients de notre responsabilité collective à l’égard des animaux et des souffrances qu’ils subissent sous différentes formes, les Français ne veulent plus d’une exploitation animale injustifiée et injustifiable, alors qu’existent des alternatives sans animaux. C’est ce qu’ils expriment dans de nombreux sondages mais également dans leur vote, comme en témoignent les résultats des élections européennes. Ils ne veulent plus que les intérêts de quelques individus nuisent à l’intérêt des animaux et à nos devoirs à leur égard.

Monsieur le Ministre d’Etat, vous l’avez dit en lançant cette concertation, «défendre la cause animale c’est servir le progrès humain» et «on ne peut plus aujourd’hui prétendre à l’humanisme sans prendre en compte pleinement le bien-être animal». La France doit s’engager sur cette voie du progrès, pour une société plus juste, plus respectueuse et responsable. Il y a urgence. La France doit se donner les moyens d’agir concrètement, au-delà des discours incantatoires. Pour l’heure, nous ne pouvons que déplorer le retard de notre pays dans ce domaine, contrairement au nombre croissant de ceux qui se sont engagés pour une société plus juste à l’égard des animaux.

L’amélioration de la condition animale ne passera pas par l’agrandissement ou l’enrichissement de cages, des promesses à respecter des lois, que déjà nul n’est censé ignorer, et surtout des promesses non tenues, des interprétations anthropocentriques de ce que pourrait être ou devrait être le bien-être animal. L’amélioration de la condition animale passe par des mesures et des engagements forts, la prise en compte de leurs besoins et intérêts propres, de la réalité des situations, des alternatives existantes et des attentes de la société civile. Le rehaussement des réglementations existantes ne serait qu’un pis-aller insatisfaisant pour tous et inefficace pour apaiser les tensions sur le terrain.

C’est pourquoi, le collège des organisations de protection animale demande unanimement l’interdiction des animaux sauvages dans les cirques, les spectacles de montreurs d’ours et de loups et dans toute autres activités de divertissement avec des animaux d’espèces non domestiques.

Notre demande ne se fonde pas sur une appréciation idéologique, mais sur des données scientifiques, notre expérience de terrain, en particulier dans les failles d’application de la réglementation actuelle, dans les attentes sociétales et politiques, dans les données pédagogiques et dans les enjeux de protection de la nature.

Sur le plan scientifique, il est incontestable que la vie d’un animal sauvage dans un cirque impose des conditions de détention, de transport, de dressage et de présentation au public susceptibles de causer des blessures physiques, des maladies ainsi que du stress, des troubles de comportements et des atteintes psychologiques. La Fédération des Vétérinaires d’Europe a ainsi recommandé, dès 2015, je cite, « à toutes les autorités compétentes européennes et nationales d’interdire l’utilisation de mammifères sauvages dans les cirques itinérants dans toute l’Europe, compte tenu de l’impossibilité absolue de répondre de façon adéquate à leurs besoins physiologiques, mentaux et sociaux ».

Sur le plan réglementaire, nous constatons déjà que la réglementation est mal appliquée en pratique et que les décalages entre les textes et la réalité sont nombreux. En tout état de cause, ils ne pourront pas être corrigés par une augmentation des contrôles ou des normes.

Sur le plan sociétal, les attentes des Français sont réelles et ne s’arrêteront pas. La question n’est plus de savoir s’il faut prendre une mesure d’interdiction, mais quand et comment.

Sur le plan politique, les élus se mobilisent. Notamment au niveau local : en juin 2019, 361 communes avaient pris position et/ou demandent au Gouvernement une loi d’interdiction nationale. Chaque semaine, de nouvelles villes se prononcent via l’adoption d’un v≈ìu symbolique et dénoncent les pressions qu’elles subissent des professionnels du cirque. Au niveau national, en 2 ans, ce sont 4 propositions de loi et pas moins de 38 questions écrites parlementaires qui vous ont été adressées sur ce sujet.

Par ailleurs, les arguments pédagogiques sont irrecevables. La présentation de numéros contre nature, dans une vision anthropocentrique autour des dresseurs, ne reflète en rien la grandeur et la beauté naturelles de ces animaux et encore moins leurs besoins de préservation. Elle est une présentation trompeuse du public, et en particulier des jeunes, quant au comportement naturel des animaux sauvages. C’est un spectacle de domination, de rapport de force qui peut conduire à légitimer la violence et la contrainte sur les animaux et n’appelle en rien au respect de l’animal, comme en attestent des études en psychologie sociale que nous vous avons transmises.

De même, nous contestons fermement les arguments de préservation des espèces. L’exploitation des animaux sauvages dans les cirques est au contraire une atteinte aux engagements de la France à défendre l’environnement et préserver la biodiversité. Comment peut-on s’engager d’un côté dans la lutte contre le braconnage d’éléphants et autres espèces protégées et de l’autre soutenir la présence d’éléphants ou de fauves dans des cirques dans lesquels ils sont entravés, contraints à des numéros contre nature et leur corps peut encore être exploité après leur mort ?

Pour toutes ces raisons, nous demandons l’interdiction des animaux sauvages dans les cirques, les montreurs d’ours et de loups et autres activités événementiels, avec un plan pour accompagner les professionnels du cirque et trouver des solutions de sortie à ces animaux.
Si de telles solutions sont accessibles dès à présent pour certaines espèces, pour d’autres, tels les singes et les fauves, nous avons besoin d’un recensement exhaustif de l’I-FAP dont la pleine fonctionnalité doit être assurée dans les plus brefs délais. Pour parvenir à cette interdiction, nous demandons dès à présent l’interdiction de la reproduction – par des moyens adaptés- et des cessions vers ces établissements. L’association Paris Animaux Zoopolis demande la mise en place d’un calendrier avec dates butoir (2 ans pour les espèces à faible effectif ou faciles à placer et 6 ans pour les autres).

Parallèlement, nous demandons la mise en ≈ìuvre immédiate de mesures transitoires pour faire cesser les souffrances intolérables notamment l’utilisation d’outils ou de méthodes de dressage punitifs et coercitifs, les entraves aux éléphants qui conduisent à des blessures et souffrances, la fin des dérogations pour certaines espèces, l’interdiction des autres activités notamment celles avec des bébés animaux, mais également l’application et le respect des réglementations existantes et donc l’application des sanctions prévues.
S’agissant des contrôles, CACH et CGFT (Green Cross France et Territoires) demandent la création d’un pool de contrôle international et indépendant pour les animaux sauvages dans les cirques, composé de professionnels de terrain, spécialistes des différentes espèces et représentant les disciplines pertinentes pour exprimer des avis objectifs et étayés sur la situation de certains animaux sauvages détenus dans les cirques et autres activités dérivées.

Nous demandons également la fin des subventions publiques pour les cirques utilisant des animaux sauvages ; l’argent public doit être utilisé au développement de sanctuaires et de refuges, non pour le soutien d‚Äòactivités lucratives, dont la fin est inéluctable.
Enfin, nous demandons que les communes soient libres de refuser la présence des cirques avec animaux pour des motifs de sécurité comme d’éthique. Notre droit ne peut pas ignorer plus longtemps l’opposition à la détention des animaux dans les cirques exprimée par ces communes et nos concitoyens. Il y a une responsabilité collective à mettre un terme à l’imbroglio juridique sur le terrain ainsi qu’aux tensions entre circassiens et associations, mais régulièrement aussi avec les communes. Au cours de cette concertation, on nous a beaucoup reproché les manifestations contre les animaux dans les cirques et de supposées violences, sans que celles, avérées, des circassiens contre des militants ou responsables associatifs ne reçoivent toujours la même condamnation… Quels que soient leurs auteurs, la violence n’honore personne et doit être condamnée.

En conclusion, si le cirque joue un rôle social, d’animation des territoires, de lien intergénérationnel, ce n’est pas grâce à des animaux qui n’ont pas leur place sur la piste et dans des cages, mais par leur capacité à créer des numéros et à faire rêver. On ne fait pas rêver avec des animaux extraits et détachés de leur milieu naturel, nés en cage, enfermés à vie, contraints et sujets à des troubles du comportement. Le cirque doit continuer son évolution et les pouvoirs publics doivent accompagner cette indispensable mutation. La situation sociale et économique des professionnels ne doit pas retarder une décision nécessaire et attendue par nos organisations et les Français. Ce n’est qu’en préparant paisiblement l’avenir que nous pourrons l’affronter sereinement.
Nous vous remercions.

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Christophe CORET
Christophe CORET
Président d'AVES France

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